En 1862, en observant une orchidée qui avait un très long éperon ou elle y stockait son nectar, Charles Darwin a conclu qu’il devait exister un papillon capable de plonger dans l’éperon de l’orchidée, pour en boire le nectar et la polliniser.
En 1903, on a découvert le sphinx de Wallace.
Mais ce n’est qu’en 1997 qu’on a pu démontrer que c’était bien lui qui pollinisait l’orchidée, lorsqu’on a pu le prendre en photo sur la plante.
L’Algérien que je suis se pose la question : Entre les adeptes de l’arabistan et ceux de l’amazighistan, qui est l’orchidée et qui est le papillon ?
Il n’y a qu’à lire leurs échanges sur les réseaux sociaux pour comprendre qu’ils ont tellement besoin l’un de l’autre pour exister…
Ils Vivent en parfaite symbiose, l’un ne peux s’en passer de l’autre ! C’est comme les différentes cultures en Algérie qui s’interpénètrent et evoluent en conjointement en s’appuyant l’une sur l’autre, pour donner un nectar qui profitera à tous les algériens. Quel bel exemple que de comparer l’orchidée et le papillon aux composantes culturelle algériennes. Merci pour cette magnifique image de symbiose parfaite entre deux espèces pourtant différentes maïs liées par un même destin. Vive l’Algérie unie, forte, et multiculturelle !
Ton analogie nectarine est encore plus pertinente et certainement plus optimiste que la mienne ?